L'État-PS, un cadavre qui marche vers son "destin de fin de vie"

Publié le par Richard Mauden

L'État-PS, un cadavre qui marche vers son "destin de fin de vie"

L'État-PS est aujourd'hui dans la situation du "canard sans tête", qui marche en se dandinant vers son inéluctable destin, pourtant si funeste. La politique irresponsable du règne médiocre de Solferino 1er nous ramène au temps de la nostalgie de la révolution libertaire des nantis de mai 1968. Mais la génération 1968 est devenue totalement étrangère à la génération actuelle des bacheliers illettrés et sans-emploi.

Pourtant, les idéologues irresponsables de la république socialiste croient pouvoir se vautrer dans une idéologie libertaire qui date déjà du siècle dernier. Et malgré cela, ils sont animés de la nostalgie de ce que fut l'époque où la jeunesse dorée se préparait à la révolution de 1968 : tout ce qui s'est passé chez nous depuis les élections de 2012 n'est qu'une conséquence misérable de la continuation de l'idéologie de 1968.

L'amateurisme de la politique irresponsable du règne médiocre de Solferino 1er place le pays en face de la simple "exécution testamentaire" de la révolution libertaire de 1968. C'est pourquoi, dans la France du XXI ème siècle, la révolution de l'idéologie de la "déconstruction" prépare naturellement l'effondrement de la politique anarcho-libertaire et antisociale, destructrice des valeurs de la famille, de Solferino 1er.

C'est pourquoi les Français qui travaillent sont entrés en lutte ouverte contre l'inconscience officielle des idéologues de l'État-PS. Et ils veulent mettre fin à la tyrannie idéologique de la république socialiste. Les professeurs de la république socialiste sont insultés et menacés par la jeunesse illettrée des quartiers selon les règles antisociales du communautarisme anti-républicain, qui mènent à l'échec de la république socialiste.

"Ni Dieu, ni maîtres", selon l'idéologie anarcho-libertaire et antisociale de la "déconstruction" des valeurs de la laïcité de la république socialiste. Les directives et autres circulaires des ministres de l'Éducation Nationale, appliquées par des bureaucrates nommés par l'État-PS, font que les ouvrages de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT sont reconnus comme des manuels d'enseignement scolaire !

Et le système de la "sexualité pour tous à l'école" couronne tout le développement idéologique des enfants qui sont confiés aux établissements publics de l'Éducation Nationale. Il est clair que l'idéologie de la "déconstruction", sous couvert de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT, se voit élevée, en quelque sorte, au rang de philosophie d'État de la monarchie médiocre de Solferino 1er ! Et la révolution de 1968 se serait réveillée, grâce à ces idéologues irresponsables de la république socialiste, avec leurs phrases obscures, à propos de la "déconstruction", dans cette période lourde de conséquences politico-économiques.

Les idéologues de la "déconstruction", qui veulent se faire passer pour les représentants libertaires de la révolution dorée de 1968, contre les socio-libéraux de l'époque, sont justement aujourd'hui les adversaires les plus acharnés de la population qui travaille, parce qu'ils veulent détruire les valeurs des classes moyennes en tant que telles et des familles qui seraient responsables de l'éducation réactionnaire de leurs enfants.

On comprend que les ouvrages scolaires de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT, reconnus comme manuels d'enseignement des établissements publics de l'Éducation Nationale, puissent jeter le trouble dans les esprits et faire que les familles aient participé à la "Journée de Retrait de l'École".

Mais, c'est surtout la puissance du mouvement de la "Manif pour tous" que ne virent ni les idéologues de l'État-PS, ni le gouvernement de la république socialiste. C'est pourquoi, les esprits libéraux des classes moyennes ont perçu que les idéologues de l'État-PS ont créé un grand trouble dans l'esprit des gens, après le "passage en force", sur le plan législatif, et surtout démagogique, du "mariage homosexuel pour tous". Dès lors, la mise en œuvre de la religion socialo-laxiste de la tyrannie de la bienveillance l'État-PS, protecteur des délinquants, a achevé de convaincre les citoyens, encore indécis, de la nécessité de mettre fin à la tyrannie idéologique de l'État-PS. Il est vrai que chacun a pu se reconnaître, dans la philosophie et les valeurs des familles et celles classes moyennes qui travaillent, valeurs portées par le mouvement de la "Manif pour tous".

Il est clair pour tous aujourd'hui qu'aucune thèse, de l'idéologie anarcho-libertaire et antisociale de la "déconstruction" des valeurs de la laïcité de la république socialiste, ne s'est autant attiré la réprobation des gens normaux, face à des gouvernements socialistes bornés. Et la colère des libéraux des classes moyennes qui travaillent, une fois soulevée, ne retombera sûrement pas facilement. Les libéraux ont bien compris que l'idéologie anarcho-libertaire de l'État-PS est conforme à la thèse : "Tout ce qui est socialiste est irrationnel, et fondé sur le déni de réalité". C'est pourquoi la politique de la famille de la république socialiste n'a plus rien à voir avec tout ce qui est réel et concret, dans la vie de tous les jours des gens qui travaillent.

Il s'agit, manifestement, de la réaction des classes moyennes à la sanctification de la "sexualité pour tous à l'école", sous l'influence pernicieuse des activistes de l'idéologie anarcho-libertaire, avec la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT, et des sociétés secrètes, toujours agissantes en sous-main, pour la consécration du despotisme de l'État policier, sous couvert de la police politique, de la nouvelle justice de classe totalement arbitraire, et bien sûr, de la censure morale des critiques justifiées de l'opposition.

C'est ainsi que les représentants libéraux des classes moyennes qui travaillent et qui subviennent aux dépenses toujours plus fastueuses et irresponsables de la république socialiste, interprètent l'incompétence l'impuissance et l'amateurisme de l'État-PS en matière politico-économique. Or, chez Solferino 1er, tout ce qui existe n'est pas réel. L'attribut de la réalité ne s'applique chez lui qu'à ce qui est l'idéologie anarcho-libertaire nécessaire. La réalité s'avère incompétente face à la nécessité de la tyrannie idéologique de l'État-PS. C'est pourquoi Solferino 1er ne considère pas d'emblée "comme réelle" n'importe quelle mesure gouvernementale, pourtant nécessaire, en matière de politique économique. C'est pourquoi il a cru pouvoir suivre l'exemple d'une "politique fiscale confiscatoire", conforme à la révolution confiscatoire des soviets de 1917-1918.

Comme "ce qui est nécessaire en matière de politique économique", appliqué à l'État-PS, s'avère en opposition à la politique irresponsable du règne médiocre de Solferino 1er, cette politique apparaît également irrationnelle aux yeux des idéologues irresponsables, ceux là même qui veulent pouvoir recréer les conditions du temps de la nostalgie de la révolution libertaire dorée des "nantis de mai 1968". La thèse de l'idéologie anarcho-libertaire de l'État-PS ne signifie pas autre chose que "l'État libéral et économiquement rationnel", même dans la mesure où il est nécessaire, n'est pas, et ne peut pas être, conforme à la "raison socialiste".

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